Sur 643 échantillons de médicaments antipaludiques analysés par le Laboratoire national de la santé (LNS) 136 résultats suspects, soit 2,3 %, ont présenté un taux de non-conformité dont 17% imputable à l’amodiaquine, essentielle au traitement du paludisme. C’était hier à l’hôtel Onomo de Bamako à la faveur d’un atelier de restitution organisé par le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique avec l’appui de l’USAID.
↧